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Le bailleur social Logiest a décidé de mettre à jour son patrimoine immobilier sur le quartier Ravel à Thionville.
La viabilisation n’est pas modifiée mais les maisons insalubres sont démontées et remplacées par un programme d’habitat mixte.
Certaines démolitions laissent la place à un parc intergénérationnel.
La déconstruction des bâtiments est sélective et valorisée dans un système d’économie circulaire. Réalisée dans le cadre d’un urbanisme transitoire, un village formation est installée sur site sur le thème de la valorisation des déchets et de leur réemploi.
Requalification du quartier Voltaire.
Afin de mettre en oeuvre les orientations de l’étude Tour de Ville à l’échelle du quartier Voltaire, la commue de Longwy et Meurthe-et-Moselle HABITAT (MMH) ont décidé de mettre en place une démarche de renouvellement urbain. La volonté de la maîtrise d’ouvrage est de construire un projet urbain autour du maintien, de la valorisation et de la reconstitution du patrimoine de la partie Haute de Longwy. Celle-ci est aujourd’hui structurée par les fortifications Vauban, apparentes ou enfouies. Le cœur de ces fortifications abrite encore la ville historique (reconstruite après les bombardements de la Première Guerre Mondiale), qui est, depuis 2008 inscrite au Patrimoine mondial de l’Unesco.
Bien qu’encore visibles à l’est, les fortifications se sont vues effacées par la construction des nouveaux quartiers à l’ouest (dont le quartier Voltaire). Une des caractéristiques du patrimoine Vauban Longovincien réside dans le fait que le mur, lorsque est apparent, est systématiquement surmonté d’une strate végétale de type forêt.
Le projet s’articule sur une réinterprétation des tracés Vauban qui impose une réorganisation complète du quartier, ainsi les éléments paysagers structurants tels que : les redoutes et les défilés seront révélés par un travail de scénographie paysagère. Des bâtiments sont démolis et permettent la réalisation d’un large parc situé au Nord du quartier. Il correspond à un espace de plein air, à travers cet espace c’est le projet Tour de Ville qui s’exprime. Le parc est planté d’essences forestières type Acer pseudoplatanus, Acer platanoides, Quercus robur, Fagus sylvatica, Carpinus betulus, Pinus sylvestris, Fraxinus excelsior, Sorbus aria, Acer campestris, Prunus avium, … Le défilé, bande engazonné libre aère le parc. Il est jalonné de cheminement en stabilisé, qui bordent la lisière boisée afin d’offrir une vue privilégiée sur le défilé et le nouveau bâtiment en arrière plan. Pour augmenter les événements paysagers, des modelés de sols plantés d’arbres de hautes-tiges, rappelleront les motifs paysagers des fortifications Vauban.
Au centre du quartier, le parvis Vauban accueille une place. Celle-ci revisite le défilé de manière minérale, c’est la nouvelle vitrine du quartier, elle accompagne l’espace central dans la continuité de la rue Voltaire. Il sera avant tout constitué de terre battue ponctuée de carrés plantés, de jardins potagers et clôturés par de la ganivelle. Les arbres, qui orneront ce secteur seront de ramure légère à caractère champêtre (Prunus avium, Malus communis, Sorbus aucuparia, crataegus laevigata, au droit des bâtiments et à caractère ornemental fort (Sophora japonica) au niveau du carrefour central. Ce secteur accueillera des « salons urbains » marqués par du mobilier et un éclairage spécifique.
Au sud du quartier, les espaces publics deviennent un jardin. C’est un espace dédié aux habitants du quartiers. Il se décompose en deux parties : la partie haute boisée et la partie basse du défilé plus ouvert. La partie haute sera plantée d’essences déjà présentent dans le parc au nord et sur les abords des voieries : Tilia europaea, Qercus palustris, Sorbus torminalis, … La partie basse sera végétalisée à l’aide d’arbres fruitiers et de petits arbres (Acer campestre, Prunus serrula et de cépée d’Amélanchier. Cet espace à une vocation ludique, elle regroupe quatre espaces différents : un espace de pique-nique, un espace de balançoires, un espace de jeu de corde et un espace de jeux d’aventure pour les petits. Un plateau permet de créer une continuité entre le Centre Social et le jardin. L’ensemble de ces espaces viennent ensuite se reconnecter au défilé existant.
Victime de son succès, le Col de Grosse Pierre se doit aujourd’hui de changer de peau, pour passer de celle d’un lieu-dit à un lieu sûr. En effet, entre skieurs, motos, automobilistes, cyclistes, on se marche dessus ! C’est aussi le moment de redonner une réelle identité à ce magnifique belvédère.
Réorganiser – sécuriser – montrer. Voici les trois enjeux portés par ce projet du nouveau col de Grosse Pierre. Réorganiser les flux et déplacements – entre skieurs, marcheurs, automobilistes, cyclistes, motards, enfants. Sécuriser pour que la traversée de la route et du parking ne soit plus des carrefours dangereux entre piétons et automobilistes. Enfin, montrer, c’est à dire redonner une image attractive du site, à l’aide de motifs paysagers locaux comme la pierre sèche, tout en travaillant finement la topographie, afin que l’intervention tire au maximum parti de l’existant pour une intégration parfaite du site dans son environnement naturel et fini la nappe d’enrobé !
Friauville est un village rue lorrain typique. Défiguré par le passage incessant de la voiture, il s’est mué en un véritable axe routier, reléguant la vie des usoirs au second plan.
Dans le but de retrouver une vie de village, mais aussi de traiter les réseaux aériens, la commune a décidé de lancer une maîtrise d’oeuvre sur sa traversée.
La traversée de Friauville est marquée par plusieurs séquences (usoirs, espaces de centralité, ouverture sur le ruisseau du Longeau). Plusieurs points de conflits ont été identifiés, IN SITU propose des solutions paysagères qui respectent l’identité de la commune. En parallèle, une démarche programmatique a été menée en concertation avec la population.
En phase diagnostic, deux ateliers ont été organisés autour des usages liés aux usoirs et aux places du village. Les participants (20/30 personnes) se sont répartis en groupe de 5/6 personnes traitant d’un côté les usoirs et de l’autre les places.
Chaque groupe se faisait remettre une mallette d’images à coller sur le thème de leurs réflexions. Ils ne pouvaient choisir que 5 images donc 5 usages. Enfin chaque groupe était invité à présenter et expliquer leurs choix. Ces travaux ont été synthétisés de manière à produire les scénarios à venir.
Synthèse de la participation
Les usoirs : les habitants souhaitent que les déplacements piétons se fassent en sécurité et confortablement d’un point A à un point B sans être gênés par la présence de la voiture. Le trottoir pourra être séparé de la voirie. Ils souhaitent la présence de végétaux dans les espaces à traiter, des lieux de repos ombragés. Ils veulent également profiter d’éventuelles surlargeurs pour accueillir d’autres usages rassembleurs.
Les places : un lieu dynamique et animé, un lieu de rassemblement spontané. Les participants souhaitent que l’espace soit vécu comme un lieu de rassemblement pour les fêtes par exemple. Une fontaine serait le signal central. Le lieu pourrait également accueillir un marché et des temps musicaux. Ils souhaitent trouver un mobilier pour le repos. Un four à pain collectif pourrait être imaginé afin d’inscrire de nouveaux usages dans les habitudes des Friauvillois.
L’objet de l’étude sur le centre-ville de Longwy consiste à trouver un équilibre entre le potentiel écologique de découverture de la rivière Chiers et un fonctionnement urbain apaisé, le tout au service d’un renouvellement de l’attractivité du centre-ville de Longwy. Un protocole complexe réunit une maîtrise d’ouvrage élargie, composée des deux collectivités principales, Longwy et l’Agglomération mais également la DDT, la sous-préfecture, la DREAL, l’EPAMA, le SIAC, l’Agence de l’eau, et la Région Grand Est. Il existe, à ce jour, une série de projets de développement urbain tout autour du centre-ville (La Briqueterie, Gare Senelle, Rue Neuve, …). La métamorphose du centre-ville permettra alors d’entamer une nouvelle dynamique d’attractivité et de déclencher la réalisation de ces projets. A cela s’associe, la nécessité d’une réflexion sur la réhabilitation de la Vieille-ville aujourd’hui inadaptée à la demande.
Les études sur la découverture de la chiers et la réhabilitation du centre-ville de Longwy se sont construites autour d’un processus de co-construction poussé. La démarche participative s’est opérée à deux échelles. Un comité technique de débat : d’abord au niveau des instances de pilotage, 2 comités ont été créés. Un comité de pilotage classique qui se réunit stratégiquement à la fin de chaque grande phase. Un comité technique qui partage les données, prend part aux études et réflexions. Ce comité technique est un véritable atelier d’urbanisme où les propositions sont débattues. Des ateliers citoyens participatifs : plusieurs ateliers citoyens ont été organisés. Ils testent les principaux usagers sur les propositions des urbanistes. Sur table, les habitants et commerçants fabriquent leurs maquettes qui expriment leurs intentions. Ces intentions sont la base des scénarios à venir. L’équipe In Situ-Nege a mis en place toute une série d’outils pour cette démarche de co-construction : balade urbaine, enquêtes sociales auprès des usagers et des commerçants, enquête dans le train (travailleurs frontaliers), questionnaire en ligne (site internet, facebook, interventions dans les écoles, ateliers citoyens, intentions urbaines et maquettes.
Ateliers de co-construction
Les différents membres de l’atelier ont à leurs dispositions des jetons qui correspondent chacun à un usage spécifique. Après avoir argumenté leur choix, ils disposent l’ensemble des jetons sur le plateau de jeu qui correspond au plan du quartier. Avec des fils de laine, les habitants représentent les liaisons douces et les axes de circulations véhiculées. Dès que l’ensemble des membres du groupe parviennent à un consensus, les éléments sont fixés grâce à des épingles. Pour terminer, les habitants se mettent d’accord sur un titre qui illustre leur proposition, puis viennent présenter leurs intentions aux autres groupes. Deux animateurs sont installés par groupe. Ils s’occupent de relancer les débats, de creuser les thèmes lorsque le groupe n’est pas aller au bout de la réflexion, de ne pas perdre la dimension collective de ce travail sur table et de faire des choix.
Trois intentions urbaines ont donc abouti à trois grands scénarios directement issus des ateliers de co-construction. La problématique tourne autour de la découverture de la Chiers et de l’implantation des grandes fonctions urbaines (commerces, équipements, gare routière,…). Les trois scénarios ont exploré le centre ville de manière très différentes.
La problématique tourne autour de la découverture de la Chiers et de l’implantation des grandes fonctions urbaines (commerces, équipements, gare routière,…). Le scénario 1 piétonnise complètement la place Leclerc et ouvre le plus largement possible la rivière pour offrir une nouvelle image au centre. Le scénario 2 a identifié un nouvel îlot urbain en face de la gare pour l’implantation d’un pôle commercial et d’un silo de parking. Il exprime la volonté de rompre avec un fonctionnement tel que la ville l’a toujours connu et dépasse les limites pour rejoindre le pôle de la gare. Le scénario 3 joue plus l’équilibre entre les intentions. Il préserve des poches de stationnement au sein de la place, séquence la rivière et implante des espaces aérien de représentation (la place). Le bureau d’étude ARTELIA co-anime les études en vérifiant les faisabilités constructive.
La ville de St Nicolas de Port est confrontée à un manque de stationnement au cœur de ville et au déclin de son marché hebdomadaire (rue Jolain) et de sa rue commerçante (rue Anatole France), phénomènes qui pénalisent l’image du centre-ville. L’absence de parvis, au-devant de la Basilique ou de place et d’espace public attractifs, n’a pas permis par ailleurs de faire émerger une centralité de cœur, et de fixer les flux touristiques et la population locale autour d’un espace de vie.
L’ensemble est aménagé tel un parking paysagé, véritable accueil touristique et porte d’accès au centre historique.
La Ville souhaite ainsi mettre à profit l’ultime réserve foncière qu’elle s’est constituée aux portes du cœur historique, par voie de préemption, avec l’inspiration d’y aménager un espace de vie de qualité, et d’y relocaliser le marché sous un espace couvert (halles), avec des possibilités de stationnement.
Cette réserve foncière s’étend sur 7 900 m² au niveau de l’ilot Brudchoux. Enclavé dans le tissu urbain, mais d’un profil très végétal, ce coeur d’îlot est exclusivement composé de vergers en friches. Une traverse minérale (ruelle Brudchoux) structure l’ensemble, tout en offrant une perspective monumentale sur la Basilique. Le projet a abouti sur la création d’un parc de stationnement paysagé et d’une halle au niveau de l’ilot Brudchoux. La proximité de la Basilique confère à l’ensemble une dimension patrimoniale importante, les échanges et validations de l’Architecte des Bâtiments de France ont été nourries.Le parking est traité en pavés enherbés. L’objectif est d’effacer l’impact de la voiture et de sublimer le lieu par des aménagements qualitatifs.
Marquée par son histoire et son évolution, la Place de l’Atre présente de nombreux enjeux à prendre en compte dans un travail de couture et de requalification. Cet espace chargé d’histoire revêt de nombreux symboles forts qu’il conviendra de retrouver au coeur de son aménagement.
La Basilique Saint-Maurice, en plus d’être classée Monument Historique, est un élément symbolique et un signal important à l’échelle de la Ville, c’est dire l’attention qu’il conviendra d’y porter. Le chevet et le portail des Bourgeois donnent sur les espaces à traiter. Le monument raconte l’évolution de la ville, les remparts tout proche et les espaces qui l’entourent.
La place et ses abords s’inscrivent dans un projet global. Il doit prendre en compte les liens complexes entre le site, son histoire, son environnement, les identités urbaines environnantes.
L’étude devra répondre à la fois à ces enjeux et potentialités tout en valorisant et proposant un paysage central de qualité. L’aménagement de ce secteur devra également s’inscrire dans une dynamique urbaine, reliée à son environnement proche et immédiat.
L’opération est située sur la frontière franco-allemande et se développe sur 90 hectares, boisée à plus de la moitié. Le Warndt parK a une vocation d’accueil d’activités économiques, de Waldstadt (quartiers d’habitat dans la forêt), d’aire de loisirs, de commerces mais également d’un pôle de services (crèches, maison du parK, restauration, pôle de formation).
La forêt n’a pas de frontière, elle constitue un unique paysage. La forêt se met en scène, elle offre une échelle au site. Sans elle, le Warndt Park n’est plus. Le projet s’articule donc autour de cet environnement fort et sur l’évocation des énergies inhérentes à ce milieu. L’aire de loisirs se veut un terrain d’expériences sensibles, de pratiques pédagogiques et de rencontre intergénérationnelles avec comme source d’inspiration la forêt et toute la biodiversité qu’elle accueille. Les ressources
naturelles sont ainsi réutilisées, détournés afin de créer une atmosphère de récupération et d’inventivité propice à ce lieu. Les
matériaux tels que le sable, le bois et le mulch sont issus de la forêt et irrigue l’ensemble du site. Comme le projet s’inscrit dans un temps long, un parc éphémère viendra initier de nouveaux usages afin d’installer une nouvelle dynamique.
La signalétique.
L’ensemble de l’opération est traversé par un marquage au sol qui guide les différents usagers. En plus d’être fonctionnel, le marquage devient un motif paysager qui créé une identité au site. Le marquage joue avec une gamme de mobilier qui
reprend les couleurs des fonctions renseignées.
Le quartier de la Tuilerie s’inscrit sur une ancienne emprise industrielle dédiée à la brique. Au bord de la Moselle, le long de l’avenue des Nations et bordé par la voie ferrée, le site offre un potentiel de reconquête urbaine, de couture urbaine et paysagère.
L’aménagement du site de la Tuilerie présente un double intérêt urbanistique :
– d’une part, le site constitue l’entrée Nord du centre-ville de Yutz et dispose ainsi d’un emplacement stratégique de reconquête urbaine. La réalisation de logements et de commerces dans la continuité du centre-ville permettra d’étendre ce dernier dans une logique de densification du tissu urbain existant. La mixité des fonctions urbaines et la présence d’équipements et de services dans le secteur favorisent des pratiques urbaines basées sur la proximité (déplacement à pied, en vélo).
– d’autre part, le projet de ZAC permet la reconversion urbaine de sites industriels. Le projet participe ainsi, à une échelle plus large, à la valorisation du sillon mosellan, territoire marqué par la désindustrialisation et un grand nombre de friches urbaines.
Le paysage d’entrepôts désaffectés fait place à un nouveau quartier qui privilégie des formes et fonctions urbaines propre au centre-ville :
> projet d’implantation d’une moyenne surface commerciale
> réalisation de logements selon différentes typologies (habitats collectifs sociaux et en accession à la propriété, foyer AMLI…) avec des ambitions en matière de développement durable et d’écoconstruction
> continuité de la trame viaire existante et requalification des espaces publics : valorisation du cimetière, de l’avenue des Nations.
> dépollution des sols
> mise en place d’une gestion alternative des eaux pluviales et d’une démarche environnementale.
Un motif structurant : la brique.
La brique est un élément de mémoire du site qui devient un élément d’identité du site. Elle peut être utilisée comme matériau principal ou de manière plus symbolique sur les jambages et linteaux ou pour souligner un volume ou une composition de façade.
La caserne Niel, située en limite de Verdun, offre de belles potentialités de reconversion. La ville a donc pour projet d’y créer un écoquartier résidentiel. Le projet doit concilier mixité sociale, mixité générationnelle et fonctionnelle et qualité architecturale et des aménagements, construction et fonctionnement en accord avec les principes du développement durable. L’un des enjeux était la réutilisation des espaces et des bâtiments existants. Ainsi, deux bâtiments militaires sont conservés, et la place d’arme est revue, réajustée et redessinée pour offrir un lieu de rencontre fort à ce quartier.
L’autre enjeu de ce quartier était de le désenclaver et le reconnecter à la ville.
Le programme de ce vaste ensemble contient :
-des logements décomposés en logements sociaux et en accession à la propriété
-deux maisons médicales
-une pharmacie
-des logements pour personnes âgées non dépendantes (80 lits)
-une supérette
-un service d’éducation spéciale et de soins à domicile (sessad)
-un foyer d’accueil médicalisé
-un centre d’hébergement ADAPEM
-un établissement et service d’aide par le travail (esat)
-un équipement public sportif, associatif et loisirs
Nos projets sont ancrés dans une ambition collaborative. .
Partant du principe que l’intelligence ne peut être que collective, notre équipe élabore, pour chacun de ses projets une méthodologie unique de concertation, en fonction des objectifs escomptés, du stade du projet mais aussi et surtout du public visé.
Dans ce présent cas, nous avons rencontré les habitants du foyer d’hébergement ADAPEI, chez eux, dans leur actuel foyer.
Pour ce public, il peut être difficile de se projeter, nous avons ainsi pu comprendre leurs attentes, leurs besoins, leurs fragilités, leurs peurs aussi. Les animateurs et encadrant ont préparé avec les urbanistes et paysagistes les univers à creuser, les jeux à proposer. Dans un deuxième temps, nous leur avons proposé de s’amuser et les avons plongés dans différents univers stimulant ainsi leur créativité et leur imagination. Unanimement, les résidents désiraient un lieu différent, à part, un lieu qui les ferait voyager