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Le site de Monbois bénéficie d’une position privilégiée, à proximité de la faculté des Lettres, il est niché au cœur d’un ilot forestier en plein environnement urbain dense et circulé. Ces atouts en font un lieu d’accueil stratégique pour les étudiants.
L’histoire et l’identité de ce site sont étroitement liées aux bâtiments d’origine et à leur parc. La ceinture végétale, aujourd’hui classée, offre un environnement protecteur aux étudiants. Dans le cadre de la réhabilitation de la résidence, les aménagements paysagers proposés cherchent à recréer du lien entre les bâtiments, accueillir les usages étudiants et s’intégrer à cet espace patrimonial.
Le parvis haut est le lieu d’accueil de la vie étudiante. Il s’inscrit dans la continuité des communs du bâtiment : le hall d’accueil, la cuisine collective et la salle de restauration. Ce lien entre intérieur et extérieur renforce ce pôle de vie de la résidence. Trois containers ont été posés sur le parvis, reprenant ainsi les éléments structurels utilisés en extension de façade, ils accompagnent les usages des étudiants : foodtruck, local vélo, rangement mobilier…
Le jardin s’étire depuis le parvis d’accueil en direction de la rue de Boudonville. La topographie, complètement reprise, descend vers le Nord en suivant des courbes plus naturelles soulignées par des gradins en béton. Les espaces paysagers permettent d’infiltrer les eaux pluviales en dessinant de légères dépressions sèches et accessibles la majeure partie du temps. La végétation accompagne la transition depuis la base vie du parvis vers le parc ouvert donnant sur la rue. Elle dessine des espaces intimes pour s’isoler, lire et souffler dans un cadre apaisant. Un mobilier amovible et coloré est décliné sous la forme de chaises, tables, transats et anime les lieux.
Le quartier de la Tuilerie s’inscrit sur une ancienne emprise industrielle dédiée à la brique. Au bord de la Moselle, le long de l’avenue des Nations et bordé par la voie ferrée, le site offre un potentiel de reconquête urbaine, de couture urbaine et paysagère.
L’aménagement du site de la Tuilerie présente un double intérêt urbanistique :
– d’une part, le site constitue l’entrée Nord du centre-ville de Yutz et dispose ainsi d’un emplacement stratégique de reconquête urbaine. La réalisation de logements et de commerces dans la continuité du centre-ville permettra d’étendre ce dernier dans une logique de densification du tissu urbain existant. La mixité des fonctions urbaines et la présence d’équipements et de services dans le secteur favorisent des pratiques urbaines basées sur la proximité (déplacement à pied, en vélo).
– d’autre part, le projet de ZAC permet la reconversion urbaine de sites industriels. Le projet participe ainsi, à une échelle plus large, à la valorisation du sillon mosellan, territoire marqué par la désindustrialisation et un grand nombre de friches urbaines.
Le paysage d’entrepôts désaffectés fait place à un nouveau quartier qui privilégie des formes et fonctions urbaines propre au centre-ville :
> projet d’implantation d’une moyenne surface commerciale
> réalisation de logements selon différentes typologies (habitats collectifs sociaux et en accession à la propriété, foyer AMLI…) avec des ambitions en matière de développement durable et d’écoconstruction
> continuité de la trame viaire existante et requalification des espaces publics : valorisation du cimetière, de l’avenue des Nations.
> dépollution des sols
> mise en place d’une gestion alternative des eaux pluviales et d’une démarche environnementale.
Un motif structurant : la brique.
La brique est un élément de mémoire du site qui devient un élément d’identité du site. Elle peut être utilisée comme matériau principal ou de manière plus symbolique sur les jambages et linteaux ou pour souligner un volume ou une composition de façade.
La ville de St Nicolas de Port est confrontée à un manque de stationnement au cœur de ville et au déclin de son marché hebdomadaire (rue Jolain) et de sa rue commerçante (rue Anatole France), phénomènes qui pénalisent l’image du centre-ville. L’absence de parvis, au-devant de la Basilique ou de place et d’espace public attractifs, n’a pas permis par ailleurs de faire émerger une centralité de cœur, et de fixer les flux touristiques et la population locale autour d’un espace de vie.
L’ensemble est aménagé tel un parking paysagé, véritable accueil touristique et porte d’accès au centre historique.
La Ville souhaite ainsi mettre à profit l’ultime réserve foncière qu’elle s’est constituée aux portes du cœur historique, par voie de préemption, avec l’inspiration d’y aménager un espace de vie de qualité, et d’y relocaliser le marché sous un espace couvert (halles), avec des possibilités de stationnement.
Cette réserve foncière s’étend sur 7 900 m² au niveau de l’ilot Brudchoux. Enclavé dans le tissu urbain, mais d’un profil très végétal, ce coeur d’îlot est exclusivement composé de vergers en friches. Une traverse minérale (ruelle Brudchoux) structure l’ensemble, tout en offrant une perspective monumentale sur la Basilique. Le projet a abouti sur la création d’un parc de stationnement paysagé et d’une halle au niveau de l’ilot Brudchoux. La proximité de la Basilique confère à l’ensemble une dimension patrimoniale importante, les échanges et validations de l’Architecte des Bâtiments de France ont été nourries.Le parking est traité en pavés enherbés. L’objectif est d’effacer l’impact de la voiture et de sublimer le lieu par des aménagements qualitatifs.
Le site est actuellement occupé dans sa partie nord par une ancienne scierie et dans sa partie sud par une menuiserie et des bureaux. Malgré sa situation en lisière de centre-ville, le terrain d’étude offre un paysage en contraste avec le centre bourg. Les maisons mitoyennes laissent place aux façades brutes et aveugles des locaux industriels de la rue des Tournelles. Celle-ci est longée par la rivière et sa ripisylve qui suggèrent l’atmosphère humide des lieux. La rivière sépare aujourd’hui le terrain en deux parties : l’une plus urbaine et industrielle du côté du centre bourg et la seconde comprenant une friche où le végétal
a repris ses droits.
Le site enfriché crée un repère dans le paysage du quartier mais constitue aujourd’hui une coupure dans la pratique du quartier notamment pour relier le centre bourg au quartier des Avioux. Ce potentiel paysagé peut facilement être réutilisé pour créer un parc urbain en lien avec l’EHPAD proche.
Le projet étudie la faisabilité d’un programme mixte contenant du logement senior, des studios pour les étudiants du centre de formation, une couveuse d’entreprises et un musée tourné vers le meuble.
L’objet de l’étude sur le centre-ville de Longwy consiste à trouver un équilibre entre le potentiel écologique de découverture de la rivière Chiers et un fonctionnement urbain apaisé, le tout au service d’un renouvellement de l’attractivité du centre-ville de Longwy. Un protocole complexe réunit une maîtrise d’ouvrage élargie, composée des deux collectivités principales, Longwy et l’Agglomération mais également la DDT, la sous-préfecture, la DREAL, l’EPAMA, le SIAC, l’Agence de l’eau, et la Région Grand Est. Il existe, à ce jour, une série de projets de développement urbain tout autour du centre-ville (La Briqueterie, Gare Senelle, Rue Neuve, …). La métamorphose du centre-ville permettra alors d’entamer une nouvelle dynamique d’attractivité et de déclencher la réalisation de ces projets. A cela s’associe, la nécessité d’une réflexion sur la réhabilitation de la Vieille-ville aujourd’hui inadaptée à la demande.
Les études sur la découverture de la chiers et la réhabilitation du centre-ville de Longwy se sont construites autour d’un processus de co-construction poussé. La démarche participative s’est opérée à deux échelles. Un comité technique de débat : d’abord au niveau des instances de pilotage, 2 comités ont été créés. Un comité de pilotage classique qui se réunit stratégiquement à la fin de chaque grande phase. Un comité technique qui partage les données, prend part aux études et réflexions. Ce comité technique est un véritable atelier d’urbanisme où les propositions sont débattues. Des ateliers citoyens participatifs : plusieurs ateliers citoyens ont été organisés. Ils testent les principaux usagers sur les propositions des urbanistes. Sur table, les habitants et commerçants fabriquent leurs maquettes qui expriment leurs intentions. Ces intentions sont la base des scénarios à venir. L’équipe In Situ-Nege a mis en place toute une série d’outils pour cette démarche de co-construction : balade urbaine, enquêtes sociales auprès des usagers et des commerçants, enquête dans le train (travailleurs frontaliers), questionnaire en ligne (site internet, facebook, interventions dans les écoles, ateliers citoyens, intentions urbaines et maquettes.
Ateliers de co-construction
Les différents membres de l’atelier ont à leurs dispositions des jetons qui correspondent chacun à un usage spécifique. Après avoir argumenté leur choix, ils disposent l’ensemble des jetons sur le plateau de jeu qui correspond au plan du quartier. Avec des fils de laine, les habitants représentent les liaisons douces et les axes de circulations véhiculées. Dès que l’ensemble des membres du groupe parviennent à un consensus, les éléments sont fixés grâce à des épingles. Pour terminer, les habitants se mettent d’accord sur un titre qui illustre leur proposition, puis viennent présenter leurs intentions aux autres groupes. Deux animateurs sont installés par groupe. Ils s’occupent de relancer les débats, de creuser les thèmes lorsque le groupe n’est pas aller au bout de la réflexion, de ne pas perdre la dimension collective de ce travail sur table et de faire des choix.
Trois intentions urbaines ont donc abouti à trois grands scénarios directement issus des ateliers de co-construction. La problématique tourne autour de la découverture de la Chiers et de l’implantation des grandes fonctions urbaines (commerces, équipements, gare routière,…). Les trois scénarios ont exploré le centre ville de manière très différentes.
La problématique tourne autour de la découverture de la Chiers et de l’implantation des grandes fonctions urbaines (commerces, équipements, gare routière,…). Le scénario 1 piétonnise complètement la place Leclerc et ouvre le plus largement possible la rivière pour offrir une nouvelle image au centre. Le scénario 2 a identifié un nouvel îlot urbain en face de la gare pour l’implantation d’un pôle commercial et d’un silo de parking. Il exprime la volonté de rompre avec un fonctionnement tel que la ville l’a toujours connu et dépasse les limites pour rejoindre le pôle de la gare. Le scénario 3 joue plus l’équilibre entre les intentions. Il préserve des poches de stationnement au sein de la place, séquence la rivière et implante des espaces aérien de représentation (la place). Le bureau d’étude ARTELIA co-anime les études en vérifiant les faisabilités constructive.
Friauville est un village rue lorrain typique. Défiguré par le passage incessant de la voiture, il s’est mué en un véritable axe routier, reléguant la vie des usoirs au second plan.
Dans le but de retrouver une vie de village, mais aussi de traiter les réseaux aériens, la commune a décidé de lancer une maîtrise d’oeuvre sur sa traversée.
La traversée de Friauville est marquée par plusieurs séquences (usoirs, espaces de centralité, ouverture sur le ruisseau du Longeau). Plusieurs points de conflits ont été identifiés, IN SITU propose des solutions paysagères qui respectent l’identité de la commune. En parallèle, une démarche programmatique a été menée en concertation avec la population.
En phase diagnostic, deux ateliers ont été organisés autour des usages liés aux usoirs et aux places du village. Les participants (20/30 personnes) se sont répartis en groupe de 5/6 personnes traitant d’un côté les usoirs et de l’autre les places.
Chaque groupe se faisait remettre une mallette d’images à coller sur le thème de leurs réflexions. Ils ne pouvaient choisir que 5 images donc 5 usages. Enfin chaque groupe était invité à présenter et expliquer leurs choix. Ces travaux ont été synthétisés de manière à produire les scénarios à venir.
Synthèse de la participation
Les usoirs : les habitants souhaitent que les déplacements piétons se fassent en sécurité et confortablement d’un point A à un point B sans être gênés par la présence de la voiture. Le trottoir pourra être séparé de la voirie. Ils souhaitent la présence de végétaux dans les espaces à traiter, des lieux de repos ombragés. Ils veulent également profiter d’éventuelles surlargeurs pour accueillir d’autres usages rassembleurs.
Les places : un lieu dynamique et animé, un lieu de rassemblement spontané. Les participants souhaitent que l’espace soit vécu comme un lieu de rassemblement pour les fêtes par exemple. Une fontaine serait le signal central. Le lieu pourrait également accueillir un marché et des temps musicaux. Ils souhaitent trouver un mobilier pour le repos. Un four à pain collectif pourrait être imaginé afin d’inscrire de nouveaux usages dans les habitudes des Friauvillois.
Situé à la périphérie directe d’Epinal, l’étang de Bouzey, dont la fonction première est celle de réservoir pour le canal de l’Est, est devenu aujourd’hui un lieu de loisirs nautiques et de plein air.
Notre proposition a consisté à contrôler les déplacements et à qualifier les cheminements. Ainsi, les cheminements piétons sont séparés des espaces de stationnements par des plots en bois ou des plantations arbustives. Des promenades en haut de talus ont été aménagées et traitées par des platelage bois ou des revêtements sablés. L’ensemble a été composé de manière à mettre en scène l’environnement et le paysage proche et lointain.
L’aménagement paysager de l’étang de Bouzey a été réalisé de manière à respecter le milieu hygrophile du rivage. Les aménagements de Bouzey ont été réalisés autour des activités nautiques. Une longue plage de baignade a été mise en œuvre. Elle est accompagnée d’un poste de secours, lui aussi bardée de bois. Un petit embarcadère a été réalisé, il permet le départ et l’arrivée des pédalos et autres barques. Des zones calmes et naturelles ont été préservées de manière à entretenir l’activité pêche de l’étang.
Victime de son succès, le Col de Grosse Pierre se doit aujourd’hui de changer de peau, pour passer de celle d’un lieu-dit à un lieu sûr. En effet, entre skieurs, motos, automobilistes, cyclistes, on se marche dessus ! C’est aussi le moment de redonner une réelle identité à ce magnifique belvédère.
Réorganiser – sécuriser – montrer. Voici les trois enjeux portés par ce projet du nouveau col de Grosse Pierre. Réorganiser les flux et déplacements – entre skieurs, marcheurs, automobilistes, cyclistes, motards, enfants. Sécuriser pour que la traversée de la route et du parking ne soit plus des carrefours dangereux entre piétons et automobilistes. Enfin, montrer, c’est à dire redonner une image attractive du site, à l’aide de motifs paysagers locaux comme la pierre sèche, tout en travaillant finement la topographie, afin que l’intervention tire au maximum parti de l’existant pour une intégration parfaite du site dans son environnement naturel et fini la nappe d’enrobé !
Requalification du quartier Voltaire.
Afin de mettre en oeuvre les orientations de l’étude Tour de Ville à l’échelle du quartier Voltaire, la commue de Longwy et Meurthe-et-Moselle HABITAT (MMH) ont décidé de mettre en place une démarche de renouvellement urbain. La volonté de la maîtrise d’ouvrage est de construire un projet urbain autour du maintien, de la valorisation et de la reconstitution du patrimoine de la partie Haute de Longwy. Celle-ci est aujourd’hui structurée par les fortifications Vauban, apparentes ou enfouies. Le cœur de ces fortifications abrite encore la ville historique (reconstruite après les bombardements de la Première Guerre Mondiale), qui est, depuis 2008 inscrite au Patrimoine mondial de l’Unesco.
Bien qu’encore visibles à l’est, les fortifications se sont vues effacées par la construction des nouveaux quartiers à l’ouest (dont le quartier Voltaire). Une des caractéristiques du patrimoine Vauban Longovincien réside dans le fait que le mur, lorsque est apparent, est systématiquement surmonté d’une strate végétale de type forêt.
Le projet s’articule sur une réinterprétation des tracés Vauban qui impose une réorganisation complète du quartier, ainsi les éléments paysagers structurants tels que : les redoutes et les défilés seront révélés par un travail de scénographie paysagère. Des bâtiments sont démolis et permettent la réalisation d’un large parc situé au Nord du quartier. Il correspond à un espace de plein air, à travers cet espace c’est le projet Tour de Ville qui s’exprime. Le parc est planté d’essences forestières type Acer pseudoplatanus, Acer platanoides, Quercus robur, Fagus sylvatica, Carpinus betulus, Pinus sylvestris, Fraxinus excelsior, Sorbus aria, Acer campestris, Prunus avium, … Le défilé, bande engazonné libre aère le parc. Il est jalonné de cheminement en stabilisé, qui bordent la lisière boisée afin d’offrir une vue privilégiée sur le défilé et le nouveau bâtiment en arrière plan. Pour augmenter les événements paysagers, des modelés de sols plantés d’arbres de hautes-tiges, rappelleront les motifs paysagers des fortifications Vauban.
Au centre du quartier, le parvis Vauban accueille une place. Celle-ci revisite le défilé de manière minérale, c’est la nouvelle vitrine du quartier, elle accompagne l’espace central dans la continuité de la rue Voltaire. Il sera avant tout constitué de terre battue ponctuée de carrés plantés, de jardins potagers et clôturés par de la ganivelle. Les arbres, qui orneront ce secteur seront de ramure légère à caractère champêtre (Prunus avium, Malus communis, Sorbus aucuparia, crataegus laevigata, au droit des bâtiments et à caractère ornemental fort (Sophora japonica) au niveau du carrefour central. Ce secteur accueillera des « salons urbains » marqués par du mobilier et un éclairage spécifique.
Au sud du quartier, les espaces publics deviennent un jardin. C’est un espace dédié aux habitants du quartiers. Il se décompose en deux parties : la partie haute boisée et la partie basse du défilé plus ouvert. La partie haute sera plantée d’essences déjà présentent dans le parc au nord et sur les abords des voieries : Tilia europaea, Qercus palustris, Sorbus torminalis, … La partie basse sera végétalisée à l’aide d’arbres fruitiers et de petits arbres (Acer campestre, Prunus serrula et de cépée d’Amélanchier. Cet espace à une vocation ludique, elle regroupe quatre espaces différents : un espace de pique-nique, un espace de balançoires, un espace de jeu de corde et un espace de jeux d’aventure pour les petits. Un plateau permet de créer une continuité entre le Centre Social et le jardin. L’ensemble de ces espaces viennent ensuite se reconnecter au défilé existant.
Le bailleur social Logiest a décidé de mettre à jour son patrimoine immobilier sur le quartier Ravel à Thionville.
La viabilisation n’est pas modifiée mais les maisons insalubres sont démontées et remplacées par un programme d’habitat mixte.
Certaines démolitions laissent la place à un parc intergénérationnel.
La déconstruction des bâtiments est sélective et valorisée dans un système d’économie circulaire. Réalisée dans le cadre d’un urbanisme transitoire, un village formation est installée sur site sur le thème de la valorisation des déchets et de leur réemploi.